Alexander Grothendieck est mort le 13novembre 2014. Alors qu'il se voulait coupé de toute relation avec ses contemporains quels qu'ils fussent et qu'il vivait dans l’anonymat le plus total dans un petit village des Pyrénées, oublié des médias, des politiques comme du grand public, voilà que son décès le remet sur le devant de la scène, dans une actualité éphémère. Pour Jean-Paul Sartre, ce sont les vivants qui hantent les morts et dans le cas d’ Alexender Grothendieck, cet aphorisme semble particulièrement justifié.


Alexander Grothendieck dans les années 65
Alexander Grothendieck dans les années 65
Alexander Grothendieck fut l'un des grands mathématiciens de notre époque, si ce n’est le plus grand. C’est ce qui est mis en avant à juste titre dans l’avalanche d’hommages dont on gratifie aujourd’hui sa mémoire. Cependant, il n’aimait pas les hommages, encore moins sans doute les hommages de circonstance. Il y en a qui l’auraient mis en rage, moins à cause de leurs contenus que de leurs émetteurs.
En effet, si Alexander Grothendieck s’est retiré du monde, c’est probablement en grande partie pour des raisons politiques : malgré et ses constats sur l'état alarmant de la planète et ses dénonciations argumentées, rien ne bougeait. Il est certain que s’il ne s'était pas coupé de ses semblables, il aurait combattu beaucoup de ceux qui l’encensent aujourd’hui, y compris parmi les politiciens écologistes. Car, s’il était écologiste, ce n’était pas un écologiste tiédasse du type de ceux qui encombrent les médias actuels, c’était un écologiste radical, pacifiste, anarchiste, antinataliste et contre toute forme d’exploitation économique. « Prendre des coups, découper un grillage ou défoncer une porte pour dénoncer l’empilement de fûts radioactifs par le Commissariat à l'énergie atomique (CEA) ne le gêne pas plus que ça. Il aurait été à l’aise à Sivens avec les Zadistes qui ont repris son combat. » (Pierre Douroux dans l’article témoignage qu’il lui consacre dans Libération)
Vendredi 14 Novembre 2014 Commentaires (1)

Mercredi 5 novembre, dans le cadre de manifestations organisées par la FNSEA de nombreuses exactions ont été commises sans que, à de rares exceptions près, les forces dites de l’ordre soient intervenues. Les interventions plutôt molles qui ont eu lieu n’ont guère empêché ces exactions. Globalement on peut considérer que les pouvoirs publics ont laissé faire.


Toulouse : Lisier et fumier recouvrent le local d'Europe-Écologie-Les Verts
Toulouse : Lisier et fumier recouvrent le local d'Europe-Écologie-Les Verts
L’ordre républicain tant vanté par Manuel Valls lorsqu’il s’agit des occupations zadistes non-violentes ne régnait guère dans les rues des villes où manifestait la FNSEA et les valeurs de la République si chères à son cœur étaient étouffées sous les immondices déversés par les manifestants : préfectures et divers bâtiments administratifs ont eu leurs façades arrosées de purin, leurs accès murés, leurs vitres cassées à coup de pommes de terre. Dans les rues recouvertes de fumier et de légumes pourris auxquels étaient mêlés des animaux morts, l’odeur était pestilentielle !
À Toulouse, les vandales de la FNSEA s’en sont pris aussi au local d'Europe-Ecologie-Les Verts. Du fumier et du lisier ont été déversés sur les vitrines et devant la porte. Le maire UMP de Toulouse a lui déploré un "acte crétin" : « Je condamne l'acte crétin de quelques extrémistes qui ont déversé du fumier sur la vitrine d'EELV midi py. La démocratie exige du respect! » Intéressant ! Les syndicalistes de la FNSEA seraient donc des extrémistes pour ce maire? Trop « bon prince », Europe-Ecologie-Les Verts condamne fermement mais ne porte pas plainte!

Le silence assourdissant du PS et de la droite

Mais le pire, ce fut la torture de ragondins jetés vivants par-dessus les grilles de la préfecture de Nantes, aspergés de peinture rose, roués de coups de pied avant que certains d’entre eux soient écrasés sous les roues de tracteurs.
Mardi 11 Novembre 2014 Commentaires (0)

Les politiciens de tout bord, EELV compris, ont condamné « fermement » les « violences » qui se sont produites lors de manifestations en hommage à Rémi Fraisse. Il ne s’agit pas bien entendu des « violences » commises par les forces dites de l’ordre mais de celles de groupes de manifestants. Or la seule violence condamnable dans l’affaire du barrage de Sivens et des manifestations qui en ont suivi, c’est la violence d’État.


Assassinat de Rémi Fraisse : seule la violence d’État est à condamner !
Il est légitime que le porte-parole de France Nature environnement déclare que la lutte contre le barrage de Sivens et autres projets inutiles doit revêtir des formes non-violentes, que c’est de cette façon que doit être continué le combat de Rémi Fraisse qui était non-violent, que c’est la bonne façon de respecter sa mémoire. Mais que dire lorsque c’est un Manuel Valls ou un Bernard Cazeneuve qui ont le culot d’affirmer que les manifestants salissent la mémoire de ce jeune homme alors qu’ils sont largement responsables des agissements des gendarmes mobiles qui l’ont tué, alors qu’ils refusent de mettre en cause ces gendarmes et leurs chefs, alors qu’ils clamaient à l’Assemblée nationale que les forces dites de l’ordre n’avaient rien à se reprocher bien qu’ils aient su depuis le début que c’étaient les gardes mobiles qui l’avaient tué? Ils n’ont aucune légitimité pour tenir de tels propos ! C’est leur hommage de tartuffe qui est abject et salit la mémoire du jeune botaniste ! Un hommage qui leur sert aussi à justifier la répression qu’ils continuent d’ordonner contre ceux qui manifestent contre ce meurtre tandis que Bartolone invente un règlement qui n’existe pas pour refuser la minute de silence en l’honneur de Remi Fraisse demandée par Cécile Duflot à l"Assemblée nationale.
La cause première de la mort de Rémi Fraisse, ce sont eux, c’est l’État PS qui veut empêcher à tout prix qu’au Testet, se crée un nouveau «Notre Dame des Lande». À tout prix, c’est-à-dire en usant de la violence d’état. C’est cette violence qu’il faut d’abord dénoncer lorsqu’elle est utilisée à Sivens ou ailleurs pour que des aménageurs puissent pratiquer la politique du fait accompli. Ce qui fut le cas pour un autre barrage agricole dans le Tarn, celui de Fourogue, déclaré illégal une fois sa construction achevée. Dans ce cas, cette violence d’état n’a plus rien de légitime. Il s’agit bien alors d’une violence tyrannique – ou « hégémonique » comme la qualifie les militants les plus radicaux. C’est cette violence qu’il faut condamner. Elle suscite une résistance légitime, une contre-violence qui peut conduire à des affrontements avec les forces dites de l’ordre.
Lundi 10 Novembre 2014 Commentaires (0)

Après Vital Michalon 31 ans, tué par les CRS le 31 juillet 1977 lors de la grande manifestation contre Superphénix, après Sébastien Briat, 22 ans, décédé le 7 novembre 2004 sur la voie Paris-Strasbourg, écrasé par un convoi de douze wagons chargés de déchets radioactifs alors qu’il se préparait à s’attacher sur les rails pour le bloquer, Rémi Fraisse, 21 ans, est mort au Testet dans la nuit du Samedi 25 au Dimanche 26 vraisemblablement tué par l’explosion d’une grenade tirée par les gendarmes mobiles lors de manifestations contre le barrage de Sivens. Aucun de ces jeunes ne méritait de mourir, eux qui défendaient la vie. Le fascisme d’état a une nouvelle victime à son lourd passif et, cette fois, c’est de l’état PS qu’il s’agit !
Mais faut-il s’en étonner ? En 1985, le photographe Fernando Pereira, 35 ans, était tué dans l’attentat contre le bateau de Greenpeace, le Rainbow Warrior, opération menée par Charles Hernu Ministre de la Défense, avec l'autorisation explicite de François Mitterrand. C’était déjà le PS !
L’enquête fera peut-être la lumière sur les circonstances de la mort de Rémi Fraisse sauf si cette lumière est étouffée par la Raison d’Etat mais d’ores et déjà, j’accuse !


J’accuse les forces dites de l’ordre qui sévissent depuis de longues semaines sur le site ;

J’accuse leurs chefs qui au mieux ont laissé faire, au pire ont ordonné leurs débordements de violence ;

J’accuse la Compagnie d’Aménagement des Coteaux de Gascogne (CACG) du massacre d’une zone humide de 41 ha, l’une des dernières du département, un véritable crime contre la Nature (la biodiversité), un site « riche de 82 espèces animales protégées situé en partie sur une ZNIEFF (Zone naturelle d’intérêt écologique, floristique et faunistique)comprenant 343 espèces végétales et 27 habitats dont certains sont des habitats prioritaires de la directive habitat » (Avis défavorable du Conseil National pour la Protection de la Nature)

J’accuse la Compagnie d’Aménagement des Coteaux de Gascogne de pratiquer la politique du fait accompli grâce à la protection de la force répressive de l’Etat en déboisant à toute allure le site sans avoir obtenu d’autorisation préalable de défrichement, en toute illégalité donc ;
J’accuse la Compagnie d’Aménagement des Coteaux de Gascogne d’accélérer grâce à la protection des Gendarmes Mobiles les travaux pour rendre irréversible la construction de ce barrage qui a pourtant toutes les chances d’être jugé illégal par la justice ;

J’accuse le Préfet du Tarn d’envoyer les forces dites de l’ordre pour permettre les agissements des entreprises travaillant pour la Compagnie d’Aménagement des Coteaux de Gascogne ;

J’accuse le premier ministre Valls, son ministre de l’intérieur Cazeneuve, son ministre de l’agriculture Le Foll, son ministre de l’écologie Royal sans l’aval desquels le préfet du Tarn ne pourrait pas mobiliser ses forces dites de l’ordre pour empêcher les opposants au barrage d’occuper le site pour faire respecter la loi et attendre les décisions de justice ;

Enfin et non des moindres, j’accuse le président du Conseil général du Tarn Carcenac (PS) qui porte la principale responsabilité de ce projet de barrage en tant qu’instigateur du projet et maitre d’ouvrage,

J’accuse Carcenac pour son refus de tout dialogue, de tout débat avec les opposants, débat que certains des opposants tentent d’obtenir en faisant la grève de la faim, une grève qui dure depuis plus de 50 jours,

J’accuse Carcenac pour son obstination à vouloir réaliser ce barrage quoi qu’il en coûte à l’environnement, à la Nature et aux Hommes !

Ni oubli, ni pardon !

Lundi 27 Octobre 2014 Commentaires (0)

Bernard Cazeneuve, l’actuel ministre de l’Intérieur vient de publier un communiqué scandaleux à propos de la mort de Rémi Fraisse lors des manifestations de Samedi dernier contre la construction du barrage de Sivens au Testet.
Le communiqué s’intitule «Incidents en marge du rassemblement d'opposants au projet de barrage de Sivens ». Pour Cazeneuve la mort d’un jeune défenseur de la Nature est un « incident ». C’est honteux ! Un peu compassion et d’humanité, Cazeneuve !


Outre la tirade obligée stigmatisant les ‘casseurs’, Cazeneuve justifie sans état d’âme les agissements des forces dites de l’ordre dont il est le chef. Il oublie de dire que les forces de l’ordre sont sur le site pour couvrir les exactions de la Compagnie d’Aménagement des Côteaux de Gascogne (CACG) : défrichement illégal, politique du fait accompli de construction d’un barrage qui a toutes les chances d’être illégal.
Il oublie aussi de dire que si violence il y a, la faute en incombe largement au président du Conseil Général du Tarn qui refuse de dialoguer avec les opposants, des opposants essentiellement pacifistes dont quelques-uns sont en grève de la faim depuis plus de cinquante jours pour obtenir un débat public et contradictoire sur ce projet.
En soutenant l’obstination insoutenable de ces potentats locaux, celle de son premier Ministre pour un barrage à l’impact dévastateur sur la Nature, hors de prix eu égards ses dimensions et les services rendus, Cazeneuve est bien mal placé pour donner des leçons de responsabilité aux associations et responsables politiques.
Cazeneuve parle d’un état de droit mais où est-il cet état de droit lorsque la Compagnie d’aménagement des coteaux de Gascogne, sous la protection des Gendarmes Mobiles et des CRS, défriche sans en avoir fait la demande préalable, en toute illégalité donc, un site classé pour la protection de l’écologie de la flore et de la faune ? C’ n’est plus un état de droit, c’est une république bananière !
Son communiqué n’est d’ailleurs pas exempt d’affirmations fausses. Ce sont les manifestants qui ont balisé le lieu pour permettre les investigations de la police scientifique. Ils ne se sont pas opposés à l’accès des enquêteurs au site. Ceux-ci ne sont pas venus. En outre les opposants ont affirmé publiquement vouloir collaborer avec eux pour que la lumière soit faite sur la mort de Rémi Fraisse. Tous redoutent que le Gouvernement tente d’étouffer l’affaire ou, à tout le moins la fasse traîner en longueur.
NI OUBLI, NI PARDON !

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Le communiqué du ministre de l'Intérieur est consultable ici
Lundi 27 Octobre 2014 Commentaires (0)

20 % des agriculteurs touchent 80 % de l'argent de la PAC alors que les maraîchers, les arboriculteurs ou les viticulteurs ne touchent aucune aide!
Avec les arbitrages de Le Foll, il n’y aura plus aucune aide pour les éleveurs qui ont moins de 10 vaches, pour ceux qui ont moins de 50 moutons, pour les apiculteurs ayant moins de 70 ruches . Ainsi en ont décidé Stéphane Le Foll et le gouvernement qui se montrent une fois de plus aux ordres de la FNSEA !


Devant la Ferme des Bouillons
Devant la Ferme des Bouillons
Les petites fermes condamnées par le gouvernement socialiste ?

Cela revient à supprimer toute aide PAC (Politique agricole commune) aux petites fermes. C’est les condamner à mort à terme, ce que veut, en fait laFNSEA au prétexte d’une « professionnalisation » de l’activité agricole. Les gigantesques élevages hors sol comme les usines à lait de « la ferme des mille vaches » ou les projets d’usines à pondre de 250 000 poules sont les modèles de cette prétendue professionnalisation dont ce syndicat est l’ardent défenseur. Il s’agit d’une évolution que le Gouvernement actuel soutient, un modèle qu’il cherche à appliquer malgré ses beaux discours sur l’agroécologie. En témoigne la manière dont les forces dites «de l’ordre» agissent pour permettre la création d’un barrage devant irriguer la grande culture industrielle de maïs dont la destination principale est l’engraissage d’animaux transformés en machine à produire de la viande ou du lait des élevages concentrationnaires en batterie.
Samedi 25 Octobre 2014 Commentaires (0)

Voici le communiqué publié hier, Mercredi 22 octobre 2014


Communiqué de Mme Ségolène Royal
Ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie

Comme je m’y suis engagée suite aux controverses qui ont eu lieu lors du démarrage des travaux de construction du barrage de Sivens, dans le Tarn :

j’ai nommé le 8 septembre dernier, en accord avec M. Thierry Carcenac, président du Conseil général du Tarn et M. Martin Malvy, président du Conseil régional Midi-Pyrénées, une mission d'expertise sur ce projet controversé,

les conclusions des experts Nicolas Forray et Pierre Rathouis ont été rendues,

j’ai demandé au Préfet du Tarn d’organiser dans le courant de la semaine prochaine une réunion de restitution de ces conclusions par les deux experts.

Jeudi 23 Octobre 2014 Commentaires (0)

Elle avait commandé ce rapport sur la zone humide que le Conseil Général a décidé de faire disparaitre sous la retenue d’eau d’un barrage pour irriguer les champs d’une petite vingtaine de maïsiculteurs. Qu’elle le publie donc !


Ségolène Royal doit rendre public le rapport d’experts sur le Testet !
Voici la lettre que vous pouvez lui envoyer pour faire pression sur elle afin qu’un véritable débat ait enfin lieu, pour que cesse la politique du fait accompli soutenu par la répression policière sur le terrain, que les trois grévistes de la faim soient enfin entendus :

Madame la Ministre,

Le 8 septembre 2014, vous avez décidé de nommer une mission d’expertise « pour favoriser le dialogue et vérifier les garanties d’une gestion durable de la ressource en eau » dans le cadre du projet de barrage de Sivens. Cette mission prenant fin, vous êtes sans doute déjà destinataire du rapport de vos experts.

Roland FOURCARD , Christian CONRAD et Gilles OLIVET sont des citoyens tarnais en grève de la faim depuis plus de 40 jours dans le seul but d’obtenir des informations claires sur les nombreuses zones d’ombres de ce projet.

Thierry Carcenac, président du CG du Tarn, n’a toujours pas apporté de réponses aux questions envoyées par le Collectif pour la sauvegarde de la zone humide du Testet en février 2014 tout comme il refuse tout débat public contradictoire depuis un an.

Je soutiens la demande des grévistes de la faim de rendre public le rapport des experts dans les meilleurs délais. Cela leur permettra, ainsi qu’à tous les acteurs concernés par ce projet, d’accéder enfin à des données fiables et de stopper ainsi leur longue et éprouvante grève de la faim.

Dans l’espoir d’une réponse positive, je vous prie de recevoir, Madame la Ministre, l’expression de ma considération distinguée.


Plus de 6000 personnes ont déjà participé à cette cyberaction mise en ligne le 14 octobre 2014. Parmi eux Laurent Pinatel, porte-parole de la Confédération paysanne, Guillaume Cros, Guillaume Cros, président du groupe EE-LV au conseil régional Midi-Pyrénées , et de nombreux autres élus de la mouvance écologiste dont José Bové, député européen, Isabelle Attard, Noël Mamère, députés.
Pour participer à votre tour, envoyer cette lettre telle quelle où la modifier à votre convenance avant envoi, rendez-vous sur le site de Cyberacteurs avant le 31 Octobre en cliquant ici
Mercredi 22 Octobre 2014 Commentaires (0)

Le 22 octobre, un amendement visant à supprimer les subventions allouées aux élevages de taureaux destinés aux corridas va être soumis au vote du Parlement européen.


Urgent : Financement européen des corridas basta !
D’abord adopté par la commission de l’Environnement, il a malheureusement été rejeté par la commission des Budgets. C’est à présent au tour de tous les eurodéputés de se prononcer lors de la séance plénière consacrée à l’adoption du budget 2015.
Montrons au Parlement européen que nous sommes une écrasante majorité d’Européens à exiger la fin des subventions indirectes de la corrida, qui ne survit que parce qu’elle est sous perfusion financière !
Donner en spectacle la torture d’un animal vous dégoute et vous révolte. Apportez votre soutien à cet amendement
Nous vous invitons donc à faire pression avant le 22 octobre sur les euro-députés en participant à l’action mise en ligne par Cyberacteurs .
Pour plus d’info et participer cliquer ici
Lundi 20 Octobre 2014 Commentaires (0)

Les oiseaux aussi savent se servir d'outils. La preuve par ce héron...


Avec un peu d’obstination, c'est le succès. Un petit malin et un fin pêcheur, cet oiseau ! Essayez-donc d’en faire autant !
Dimanche 19 Octobre 2014 Commentaires (0)
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