Au quotidien

Je suis Charlie!
Dessin de Cyrille Pomes
Lundi 12 Janvier 2015 Commentaires (0)

Au quotidien

Je suis Charlie
Charlie Hebdo,
journal écolo
qui défend les animaux
Lundi 12 Janvier 2015 Commentaires (0)

Parmi les grands projets inutiles et imposés, les GP2i, la FNE, à la différence de la revue Silence ne mentionne ni le déploiement de l’éolien industriel, terrestre ou maritime dans l’hexagone et le long de ses côtes, ni même un seul parmi les parcs aérogénérateurs contestés. Et pourtant, destructrices des paysages et de la nature, toutes ces installations industrielles sont pour la plupart d’entre elles imposées aux populations riveraines. Tout cela pour rien puisque le territoire métropolitain est déjà en surcapacité.


C’est cette surcapacité que «Agir pour l’environnement» (APE) invoque non seulement pour ne plus construire de centrales nucléaires et notamment d’EPR mais mieux encore pour en fermer quelques-unes : « Fin novembre 2014, la France a consommé 416 TWh contre 445 TWh à la même période en 2013. Sur l'ensemble de l'année, ce sont donc une trentaine de TWh que la France devrait économiser, soit une baisse de la consommation électrique avoisinant les 7% ! Avec les douceurs hivernales qui tendent à se généraliser, ce sont au bas mot 6 réacteurs nucléaires qui pourraient être fermés immédiatement sans qu'il y ait la moindre tension sur le réseau électrique français»
L’association s’étonne que les promoteurs de l'EPR ne semblent pas avoir pris en compte les effets du réchauffement climatique sur la consommation électrique du pays. Elle se demande s’il s’agit d’une manque de prévoyance ou de la volonté d’imposer un projet rendu inutile par cette baisse de consommation due au changement climatique qui donc, notons-le au passage, n’aurait pas que des effets négatifs !

Pour reprendre les propres termes de l'APE « La France est donc en train de multiplier les projets visant à augmenter la production électrique quand tout indique que la consommation devrait fléchir dans les années à venir.» Aux hivers plus doux que par le passé invoqués par l'APE, il faut ajouter les politiques d’isolation des bâtiments, la construction de bâtiments à énergie positive qui devrait se généraliser, les politiques d’économies d’énergie en général. Il faut aussi prendre en compte le fait que devant le coût exorbitant du chauffage électrique, les gens ont tendance à se rabattre sur le chauffage bois dans les zones d’habitat individuel où ce mode de chauffage d’appoint au départ est devenu chauffage principal.

Cependant Agir pour l’environnement oublie que parmi « les projets visant à augmenter la production électrique quand tout indique que la consommation devrait fléchir » il y a aussi le déploiement de l’éolien terrestre et maritime.
Samedi 3 Janvier 2015 Commentaires (2)

Après les deux jours de massacres systématiques de renards en début d’année 2014 dans le Nord-Pas de Calais, les sinistres « Ch'tis Fox Days », une nouvelle tuerie de goupils se prépare dans le département de l’Oise si on ne réagit pas. Le préfet de ce département prépare un arrêté permettant aux quatorze lieutenants de louveterie d’exterminer autant de renards que bon leur semblera. Comme la loi l’y oblige, il met à consultation du public pour la durée légale de 21 jours (du 17 décembre 2014 au 6 janvier 2015) ce projet d’arrêté assorti d’une note de présentation.


Urgent : de nouveaux massacres de renards sont en préparation.  Réagissons !
Comme d’habitude, les administrations profitent de cette période d'inattention pour préparer leurs projets d'arrêté qu’ils souhaitent faire passer en douce. En la circonstance, c’est raté grâce à l’association MELES qui a sonné l’alarme. Il faut prendre quelques instants dans cette période festive pour manifester par écrit sur le site de la Direction départementale des territoires de l’Oise notre désaccord, si possible argumenté, vis-à-vis de ce projet ici

Il n’est pas nécessaire d’être domicilié dans le département de l’Oise pour donner son avis. Si l’on se connecte au site, on trouve une majorité écrasante de remarques défavorables à l’égard de cet arrêté. Les préfets ayant la détestable habitude de s’asseoir sur les avis des gens et même de ceux des experts ou de ceux des commissaires enquêteurs lorsqu’ils sont défavorables, celui de l’Oise, Monsieur Emmanuel Berthier publiera peut-être malgré tout son arrêté. Il faut néanmoins prendre date. Et on ne sait jamais…

Si toutefois le préfet persiste dans son erreur, il sera possible d’attaquer au Tribunal administratif l’arrêté une fois publié. Pourront le faire les associations ayant intérêt à agir étant donné leur objet, c’est-à-dire les associations de défense de la Nature de l’environnement et/ou des animaux.
Un angle d’attaque pourrait être de montrer que cet arrêté est entaché d’erreurs d’appréciations. C’est le sujet du commentaire que je laisse sur le site de la DDT de l’Oise que je reprends ci-dessous et dont chacun peut s’inspirer s’il le désire.

Un projet d’arrêté entaché d’erreurs manifestes d’appréciation !

Cela ressort des motifs mis en avant pour justifier l’autorisation donnée aux 14 nouveaux lieutenants de louveterie de tuer des renards par pratiquement tous les moyens sauf ceux qui sont aujourd’hui proscrits quel que soit l’animal visé.
Dimanche 28 Décembre 2014 Commentaires (2)

Triste sort pour un pauvre sanglier : poursuivi par des chasseurs, coincé dans un portail, terrorisé…donc abattu par la police.


Communiqué de la Convention Vie et Nature du 18 Décembre 2014

Dimanche dernier, à Périgueux, un malheureux sanglier traqué par des chasseurs s’est coincé dans les grilles du portail d’une habitante de la périphérie de la ville, après avoir traversé à la nage une rivière pour tenter d’échapper à ses poursuivants.

Les pompiers s’étant rendus sur les lieux lui lièrent les pattes pour qu’il ne s’enfuie pas. Les policiers, arrivés sur place, ne trouvèrent d’autre option après trente minutes que de l’abattre, le déclarant terrorisé et donc dangereux !

On aurait pu user de l’emploi d’un sédatif pour pouvoir le dégager et le remettre en liberté en le déposant dans un bois. Mais que vaut la vie d’un animal, d’autant lorsque l’espèce est déclarée "nuisible" ?!
Après tout diront certains, on achève bien les chevaux …


Cela repose deux questions :

  • La première
Celle de l’insécurité créée par l’activité chasse : les chasseurs traquaient en périphérie de ville, dans un secteur qui parait interdit ! Qu’adviendra-t-il à leur encontre suite à cette infraction ? Très probablement RIEN, comme toujours ! Est-il normal de laisser approcher des habitations des individus armés, majoritairement d’âge avancé, avec tous les troubles que cela entraîne : mauvaise vue, manque de réflexe, tremblements, et souvent dans un état d’ébriété avancée ?
Il suffit de regarder les accidents mortels survenus depuis le début de cette nouvelle saison pour avoir la preuve de ces états de fait !

  • La deuxième
Celle de la soi-disant " explosion " des populations de sangliers : comme toujours, les nemrod se posent en "indispensables régulateurs de la faune sauvage", mais entretiennent les surpopulations d’espèces qui les intéressent pour leur passion sanguinaire, tout en refusant le retour des grands prédateurs, seuls régulateurs légitimes de la faune !
Il est grand temps que les véritables amoureux de la nature s’unissent pour créer une force de vie, qui soit représentée dans les instances de ce pays, afin de faire taire la minorité sanguinaire qui dicte sa loi et procède à de la désinformation quant aux véritables origines de certains déséquilibres naturels, dont elle est la seule responsable !

Jean Paul PERONNET, Secrétaire Général
Mardi 23 Décembre 2014 Commentaires (0)

La direction générale du CEA veut mettre en œuvre un projet «d’organisation fonctionnelle et de la gestion environnementale au CEA » qui aura d’importantes conséquences sur le fonctionnement des «Services de Protection contre les Rayonnements» (SPR) des centres CEA et bouleversera le fonctionnement de leurs installations. Ce projet vise à réaliser des économies de fonctionnement et de personnel au prix d’une dégradation de la sécurité.


L’avenir de la radioprotection au CEA : Baisse programmée de la sécurité ?
Préavis de grève des agents du SPR dans les centres CEA dont celui de Fontenay-aux-Roses

C’est contre sa mise en œuvre que les salariés du SPR du CEA de Cadarache sont en grève illimitée tandis qu’un préavis de grève a été déposé dans d’autres centres, notamment celui de Fontenay-aux-Roses.
Selon l’intersyndicale (CFDT, CFTC, CFE-CGC, CGT) les nouvelles dispositions induiront une baisse de la sécurité par le transfert des missions de radioprotection à des agents non spécialisés, voire par l’externalisation du service. C’est la disparition du SPR ou du moins une baisse drastique de ses effectifs qui est programmée : les départs à la retraite ne seront pas remplacés alors que 50% du personnel de ce service partiront en retraite entre 2014 et 2020.
Le SPR a pourtant un rôle essentiel dans le contrôle radiologique des installations et la surveillance de l’environnement. Dans le projet de la direction générale les activités du SPR seraient transférées aux personnels de laboratoires et un autocontrôle serait mis en place. Il s’agit, comme le précise un tract commun de la CGT et de FO Saclay citant un document du Comité national du 5 novembre 2014 « des gestes courants de radioprotection réalisés par des personnels des installations ». En clair cela implique que « chaque technicien et ingénieur faisant appel aujourd’hui au SPR se verrait responsable de la propreté radiologique, des déclarations, des certificats, de la gestion de l’entretien des appareils de mesure... en plus de leur travail dans l’installation. »

Un contrôle peu fiable et partial des activités

Certes, le SPR est un service interne au CEA, ce qui ne dispense donc pas de contrôles par un organisme extérieur tel que l’ASN. Cependant bien qu’interne, il est distinct des laboratoires et autres services qu’il contrôle tandis que confier le contrôle radiologique à des agents d'exploitation revient à avoir des personnels qui autocontrôlent, et sont donc à la fois juges et parties.
Mercredi 17 Décembre 2014 Commentaires (2)

Lors de la manifestation anti-loup organisée par la Fédération Nationale Ovine et la FNSEA à Paris le 27/10/ 2014, les éleveurs avaient amené avec eux 300 brebis sans trop se soucier du bien-être de ces bêtes. Ils les ont parquées sur les Champs Élysées, milieu inconnu et hostile pour elles, après leur avoir fait subir un trop long voyage. Eux qui ne s’inquiètent guère des conditions souvent déplorables dans lesquelles elles sont abattues, les voilà qui s’apitoient sur le sort de celles que les loups mangent. Ils n’ont pourtant pas réussi à faire pleurer le Parisien qui a bien compris, même s’il vit loin des estives, que c’est surtout sur leur manque à gagner que ces éleveurs se lamentent. D’ailleurs, l’échec était prévisible : aujourd’hui le loup est aimé.


Manifestation anti-loup à Paris : une opération de communication ratée !
Échec de la tentative de séduction : le loup est beau !

Comme les autres exploitants agricoles, les éleveurs ovins et leurs syndicats ont l’oreille du gouvernement, de ses ministres de l’Environnement et de l’Agriculture bien entendu, mais aussi du ministre de l’Intérieur et même du Premier Ministre qui a tenu un discours résolument anti-loup lors du congrès de l'Association nationale des élus de la montagne, caressant les éleveurs dans le sens du poil.
À Paris ceux-ci ont cependant appris à leurs dépens que l’on ne s’approche pas aussi facilement d’un ministère que l’on conchie de lisier la façade d’une simple préfecture de province. Ils ont goûté de la grenade lacrymogène lorsqu’ils ont voulu se rendre rue de Varenne où se trouve le ministère de l’Agriculture.
Cette manifestation était avant tout une opération de « séduction du public ». Elle semble en grande partie ratée comme en témoigne les propos d’une Parisienne rapportés par le journal La Montagne dans son édition du 28 Novembre 2014. Venue montrer les brebis à son petit-fils, elle a déclarée : «Elles sont belles et je comprends que chacun défende ses intérêts… Mais le loup aussi est beau et doit être protégé ».

Oui à l’argent de l’Europe ! Non aux règles européennes de protection de la nature !

Avec les éleveurs auvergnats, les céréaliers-éleveurs champenois (bien distinguer les éleveurs des bergers qui en sont les employés) constituaient le gros des troupes. Ce sont eux qui avait amené dans une transhumance symbolique leurs brebis respirer l’air pollué de Paris.

Les éleveurs ovins d’Auvergne manifestaient en nombre ce 27 novembre 2014 alors que les attaques de troupeaux dans cette région se comptent sur les doigts de la main et que les loups dont la présence ne semble qu’être ponctuelle sont seulement suspectés d’en être les auteurs. Il se pourrait bien que les coupables soient des chiens errants. Ces éleveurs-là crient avant d’avoir mal !

Selon leurs propres dires, les céréaliers-éleveurs champenois – qui sont surtout des céréaliers – élèvent des moutons principalement pour toucher des primes de l’Europe : « On utilise les moutons pour valoriser les coteaux que l'on ne peut pas cultiver, explique Bernard Piot, qui gère 400 hectares de cultures et 37 ha de prairies. Maintenir des zones d'herbe nous permet de bénéficier des aides de la Politique agricole commune » (Le Monde, 24.10.2013).

Les éleveurs ovins et leurs organisations veulent bien le beurre, à savoir une enveloppe d’aide de 125 millions d’euros pour la production ovine versée par l’Europe au titre de la Politique Agricole Commune mais ils ne veulent pas débourser l’argent du beurre. Ils refusent l’application de la directive nitrate et veulent l’éradication du loup, espèce protégée au niveau européen.
Jeudi 4 Décembre 2014 Commentaires (0)

Au quotidien

Hélas !!!!
Hélas !!!!
Dessin trouvé sur le réseau. Auteur inconnu. J'ai ajouté la légende
Samedi 29 Novembre 2014 Commentaires (0)

Bien que la notion de biodiversité soit une notion forgée par un biologiste, la « crise de la biodiversité » n’est pas un phénomène qui relève de la biologie ou plus généralement de la science bien que la science puisse sinon la mesurer du moins l’évaluer. Par contre elle ne permet pas de justifier que nous tentions de la sauvegarder. De plus, non seulement la science nous est d’un maigre secours pour la protection de ce que cette biodiversité désigne mais source des innovations technologiques qui la mettent à mal, elle est une des causes de son érosion.


La biodiversité comme arme politique

Ce que la biodiversité désigne, son référent n’est rien d’autre que la Nature. Mais ‘la Nature’ avec un ‘N’ majuscule est une notion métaphysique délicate à élucider et ‘la nature’ sans majuscule est une notion vague avec une référence aux limites incertaines. De là découle l’intérêt du concept de biodiversité pour un biologiste, écologue, taxonomiste ou autre. C’est en fin de compte une façon de désigner la nature sans être obligé d’en élucider la notion. D’un pur point de vue théorique ce concept ne semble pas avoir d’autre utilité. Par contre il est d’un intérêt militant capital comme le soutient Julien Delord (2009, p. 193) : « Il s’agit véritablement d’une arme politique par sa capacité à modifier les jeux de pouvoirs concernant l’environnement et la nature – nature qui, justement, bien qu’abîmée, broyée, polluée, reste la nature. Au contraire, la biodiversité en partie détruite, est forcément une biodiversité diminuée : il y a moins de biodiversité. Ainsi surgit l’urgence de sa sauvegarde ! » Je modifierai simplement la dernière phrase en « Ainsi peut surgir l’urgence de sa sauvegarde » car il ne suffit pas de pouvoir constater, évaluer voire mesurer cette diminution, il faut encore s’en soucier, ce qui n’est, hélas, pas le cas de tous les hommes, ni même de tous les scientifiques ou biologistes comme le souligne à juste titre Alain Dubois (2010, p.640).
Vendredi 28 Novembre 2014 Commentaires (1)

C’est la somme que risquent de devoir débourser les neuf citoyens de Montigny le Bretonneux qui ont osé déposer en 2011 un recours contre le permis de construire du Vélodrome de Saint Quentin en Yvelines.
La société VELOPOLIS – un groupement constitué de Bouygues Construction Île-de-France, DTP Terrassement, Exprimm (Bouygues énergies & services) et Meridiam, filiale du Crédit agricole – chargée de construire et d’exploiter cette structure leur réclame en effet 3,7 Millions d'€ de dommage pour recours abusif! L’affaire dure depuis plus de trois ans.


3,7 millions d’euros pour avoir osé déposer un recours contre un permis de construire?
En 2010 la Communauté d'agglomération de Saint Quentin en Yvelines signe un Partenariat Public Privé avec la société VELOPOLIS pour la construction d'un vélodrome et d'un complexe immobilier à l'entrée de la base de loisirs régionale de Saint-Quentin en Yvelines.

Neuf citoyens de Montigny le Bretonneux (soutenus par le collectif «Vélodrame») déposent plusieurs recours devant le tribunal administratif de Versailles contre le Plan Local d'Urbanisme (PLU) en avril 2011 puis contre le permis de construire en Juin 2011. Ce même mois, le tribunal administratif de Versailles statuant en référé n'a pas suspendu le PLU laissant ainsi le chantier continuer en attendant le jugement sur le fond. Celui-ci a été rendu deux ans plus tard, en juin 2013 et a été défavorable aux plaignants. Depuis le vélodrome a été achevé.

En septembre 2011, alors même que la justice ne s'était pas prononcée sur le fond du dossier, la société VELOPOLIS a assigné ces neuf habitants de Montigny-le-Bretonneux devant le Tribunal de Grande Instance de Versailles en réclamant une somme globale de 3,7 millions d'euros de dédommagement pour des pertes estimées à venir. Ce montant exorbitant demandé à des particuliers prouve qu’il s'agissait avant tout pour la société VELOPOLIS de faire pression afin d'obtenir leur désistement, déniant ainsi aux citoyens le droit, pourtant élémentaire, de demander que justice soit rendue.

Ces méthodes d'intimidation sont contraires aux principes démocratiques et visent à empêcher toute opposition des citoyens qui puisse contrecarrer les intérêts privés de quelques-uns. C’est pourquoi cette affaire nous concerne tous. Pour faire plier les citoyens qui contestent un projet qu’ils jugent inutile ou malfaisant tous les moyens sont bons. Terreur policière là, menace financière ici pour interdire les voies juridiques de contestation bien en consonance avec tout un arsenal de dispositions législatives restrictives prises sous divers motifs, en fait divers prétextes tels que faciliter la construction de logements, simplifier les procédures, etc., etc. .

Courageusement six des assignés ont décidé de poursuivre leur action en justice pour défendre l'intérêt collectif, malgré cette menace qui pesait sur eux et qui engage leur vie privée. Ils méritent notre soutien. L’audience pour l’assignation des 9 de Montigny devant le TI de Versailles qui devait se tenir le 25 novembre 2014 est reportée à la demande de l’avocat de Vélopolis.

Un bal est organisé pour les soutenir les assignés samedi 29 novembre 2014 à 20h, salle Jean Baptiste Clément, 6, rue Eugène Pottier Trappes (78). Plus de trois ans de procédures judiciaires contre «Bouygues Land » demande de l’énergie et aussi de l’argent. Ce bal est l’occasion d’exprimer votre solidarité, de passer une bonne soirée festive tout en renflouant les caisses de l’association Vélodrame.

Si vous ne pouvez y participer, vous pouvez toujours faire un don en suivant ce lien
Lundi 24 Novembre 2014 Commentaires (2)
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