Fontenay-aux-Roses
Des surfeurs assidus m'ont conseillé de lire ce que l'UMP fontenaisienne et ses leaders écrivaient sur leurs blogs.
Surprise....
A la lecture des blogs des leaders de l'opposition municipale UMP, on pourrait croire que la majorité municipale est sur le point d'exploser. Disons le tout de suite, ce n'est pas le cas. On comprend bien que cela ouvrirait des perspectives et serait réconfortant pour elle. Depuis bien longtemps, l'UMP, sous ce nom ou sous d'autres, n'a pas su faire l'union dans ses propres rangs et encore moins rassembler autour d'elle. D'ailleurs, aujourd'hui encore, ses leaders se disputent par blogs et site interposés au grand dam de ses adhérents et sympathisants .
Dimanche 11 Avril 2010
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Fontenay-aux-Roses
Beaucoup de documents concernant ce projet territorial de développement durable sont en ligne sur le site de Sud de Seine. www.suddeseine.fr.
Pour mettre en perspective cette réalisation et ces documents, voici un extrait de mon intervention de présentation du projet.
Ayant présidé puis coprésidé le comité de pilotage du Projet territorial de développement durable, je voudrais noter qu’il est presque terminé, il faut ajuster quelques points techniques, préciser les fiches d’actions, formuler des indices pour obtenir un tableau de bord applicable. Mais avant tout, je voudrais remercier à nouveau les habitants qui se sont impliqués soit dans les forums, soit dans la rédaction des fiches d’actions, très bien faites. Mes remerciements vont également au Conseil de développement durable, à son Président, M. HANNOTIAUX, aux membres du Comité de pilotageassidus, aux élus de ce Comité, aux services et particulièrement à notre Directeur général fidèle à toutes nos réunions qui nous a assistés par ses conseils éclairés, notre chargée de mission, Audrey-Luce JEROME qui a pris la relève au pied levé et avec compétence. Elle n’a pas ménagé ses efforts, ce qui nous a permis de tenir les délais.
Ce projet territorial de développement durable est (enfin) terminé, son élaboration a été longue, notamment la phase diagnostique puisqu’il a fallu changer de bureau d’études ; puis nous avons dû interrompre la consultation pendant la période électorale ; ensuite notre volonté de mener un réel travail participatif, une véritable co-élaboration avec les services, les élus, le Conseil de développement durable, les habitants exige du temps. Ce soir, nous vous soumettons donc le résultat d’un travail collectif. Naturellement, le bureau d’études a rédigé le texte, mais les véritables auteurs, concepteurs sont tousceux que je viens d’énumérer.
Par ailleurs, l’entreprise était originale dès le départ. Il s’agit de réunir dans un seul document le Projet de territoire et un Agenda 21. Cette démarche visait à concrétiser un principe fondateur de notre Communauté d’agglomération : une éco-communauté. (...)
Certaines actions sont déjà lancées, d’autres sont nouvelles. L’intérêt est de construire un ensemble cohérent (en effet, on n’a pas attendu le Projet de développement durable pour commencer à travailler), susceptible d’être suivi et évalué à partir des indices des fiches d’actions.
L’ensemble fait l’objet d’un programme tri-annuel de réalisation et d’un chiffrage. Les actions prévues en 2010, y compris les actions nouvelles, sont financées ; il ne s’agira donc pas de simple affichage. Nous avons d’ailleurs anticipé la réalisation de ce projet, en mettant déjà en œuvre le bilan carbone. Bref, une page commencée en 2006 se tourne ; une autre s’ouvre, notre projet me semble bon, il s’agit dele réaliser : nous sommes enfin dans le concret.
Ce projet territorial de développement durable est (enfin) terminé, son élaboration a été longue, notamment la phase diagnostique puisqu’il a fallu changer de bureau d’études ; puis nous avons dû interrompre la consultation pendant la période électorale ; ensuite notre volonté de mener un réel travail participatif, une véritable co-élaboration avec les services, les élus, le Conseil de développement durable, les habitants exige du temps. Ce soir, nous vous soumettons donc le résultat d’un travail collectif. Naturellement, le bureau d’études a rédigé le texte, mais les véritables auteurs, concepteurs sont tousceux que je viens d’énumérer.
Par ailleurs, l’entreprise était originale dès le départ. Il s’agit de réunir dans un seul document le Projet de territoire et un Agenda 21. Cette démarche visait à concrétiser un principe fondateur de notre Communauté d’agglomération : une éco-communauté. (...)
Certaines actions sont déjà lancées, d’autres sont nouvelles. L’intérêt est de construire un ensemble cohérent (en effet, on n’a pas attendu le Projet de développement durable pour commencer à travailler), susceptible d’être suivi et évalué à partir des indices des fiches d’actions.
L’ensemble fait l’objet d’un programme tri-annuel de réalisation et d’un chiffrage. Les actions prévues en 2010, y compris les actions nouvelles, sont financées ; il ne s’agira donc pas de simple affichage. Nous avons d’ailleurs anticipé la réalisation de ce projet, en mettant déjà en œuvre le bilan carbone. Bref, une page commencée en 2006 se tourne ; une autre s’ouvre, notre projet me semble bon, il s’agit dele réaliser : nous sommes enfin dans le concret.
Vendredi 9 Avril 2010
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Le chantier du marché est arrêté depuis la mi-février. En creusant pour construire deux étages de parking, les ouvriers ont découvert des galeries que les sondages n'avaient pas révélées. Il faut les combler en injectant du béton. Les deux étages du parking coutaient déjà très cher.....
Quand on aime , on compte pas
Ils seront encore plus chers sans même parler du coût d'arrêt du chantier qui ne devrait pas être supporté par la ville. Le Dieu Bagnole a toujours exigé des sacrifices démesurés et des offrandes hors de prix. Mais quand on aime, on ne compte pas.
J'étais le seul des élus de la majorité municipale à soutenir qu'il ne fallait pas construire de parking sous, sur ou à côté de la halle. J'estimais qu'il fallait trouver des solutions innovantes et durables (pour employer un mot dont tout le monde se gargarise) au transport des courses et à la desserte du marché en faisant appel à l'imagination des élus et des habitants tout en allant voir comment des villes pilotes en Europe procédaient. Évidemment, je n'ai pas été suivi. Inutile de dire que cela ne m'a pas surpris. Et voilà encore 320 000 € qui viennent encore alourdir la facture pour ces deux étages de parking.
Ils seront encore plus chers sans même parler du coût d'arrêt du chantier qui ne devrait pas être supporté par la ville. Le Dieu Bagnole a toujours exigé des sacrifices démesurés et des offrandes hors de prix. Mais quand on aime, on ne compte pas.
J'étais le seul des élus de la majorité municipale à soutenir qu'il ne fallait pas construire de parking sous, sur ou à côté de la halle. J'estimais qu'il fallait trouver des solutions innovantes et durables (pour employer un mot dont tout le monde se gargarise) au transport des courses et à la desserte du marché en faisant appel à l'imagination des élus et des habitants tout en allant voir comment des villes pilotes en Europe procédaient. Évidemment, je n'ai pas été suivi. Inutile de dire que cela ne m'a pas surpris. Et voilà encore 320 000 € qui viennent encore alourdir la facture pour ces deux étages de parking.
Vendredi 9 Avril 2010
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Fontenay-aux-Roses
Chaque année à l'occasion de ce débat sur les orientations budgétaires, chaque groupe politique du Conseil municipal s'exprime à partir d'un texte présenté par l'adjoint au maire chargé des finances. Voici l'intervention que j'ai faite au nom du groupe Les Verts et apparentés.
Le budget est un exercice de prévision. En règle générale, cette prévision est difficile à construire.
Aujourd'hui, plus que jamais. Personne ne peut dire de quoi demain sera fait, les économistes pas plus que les autres. Ils excellent à expliquer ce qui est déjà arrivé mais ils ont été bien incapables de le prévoir.
L'exercice est difficile également parce que de réformes en réformes, on ne sait plus très bien sur quelles recettes il faut compter.
Nous avons peu de remarques en ce qui concerne les dépenses prévues et prévisibles. Un mot tout de même sur les charges à caractère général. Sous ce chapitre, il y a des dépenses assez hétéroclites regroupées selon une logique purement comptable, me semble t-il. Voisinent les livres avec les vêtements de travail, les carburants et les combustibles avec l'alimentation carburant de la machine humaine. Pour ces charges, il est proposé de maîtriser leur évolution par une gestion « plus fine de ce type de dépense et d'une inscription budgétaire au plus proche des besoins de financement. » Cela sous-entendrait-il que les inscriptions budgétaires concernant ces charges générales avaient été largement calculées jusqu'à présent? Si l'on regarde les tableaux p.4, on voit que cela était bien le cas.
Aujourd'hui, plus que jamais. Personne ne peut dire de quoi demain sera fait, les économistes pas plus que les autres. Ils excellent à expliquer ce qui est déjà arrivé mais ils ont été bien incapables de le prévoir.
L'exercice est difficile également parce que de réformes en réformes, on ne sait plus très bien sur quelles recettes il faut compter.
Nous avons peu de remarques en ce qui concerne les dépenses prévues et prévisibles. Un mot tout de même sur les charges à caractère général. Sous ce chapitre, il y a des dépenses assez hétéroclites regroupées selon une logique purement comptable, me semble t-il. Voisinent les livres avec les vêtements de travail, les carburants et les combustibles avec l'alimentation carburant de la machine humaine. Pour ces charges, il est proposé de maîtriser leur évolution par une gestion « plus fine de ce type de dépense et d'une inscription budgétaire au plus proche des besoins de financement. » Cela sous-entendrait-il que les inscriptions budgétaires concernant ces charges générales avaient été largement calculées jusqu'à présent? Si l'on regarde les tableaux p.4, on voit que cela était bien le cas.
Jeudi 18 Mars 2010
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Fontenay-aux-Roses
Puisque la question semble intéresser, voici le texte de ma deuxième intervention lors du Conseil communautaire du 17 septembre 2009 qui motive notre vote concernant l'adhédison au syndicat Autolib.
Pour une fois, je serai d’accord avec vous. Je n’ai pas une vision aussi idyllique que celle de Pascal BUCHET. Je suis un peu perplexe et je ne comprends pas pourquoi nous avons ce soir une nouvelle délibération. Lors du dernier conseil communautaire, nous avons déjà voté une délibération précisant que nous allions adhérer conditionnellement à Autolib’ ; la condition était le changement de l’article 15 des statuts afin qu’il soit clair que nous ne supporterions pas un déficit d’exploitation. Si cette condition avait été satisfaite, une nouvelle délibération n’était pas nécessaire. Pour quoi cette nouvelle délibération ? Parce que la condition n’a pas été satisfaite. Il faut distinguer une promesse et une réalisation, un acte effectif et la promesse de le faire. Lorsque vous parlez d’une assemblée d’élus qui représentent des communes et des agglomérations, vous imaginez bien que tout le monde va être d’accord pour ne pas contribuer au déficit. Vous dites que cela va figurer dans des clauses, mais nous ne les connaissons pas, personne ne les a vues. D’ailleurs c’est sur des clauses de ce type qu’il existe des conflits entre le délégataire et Velib’. Nous n’avons donc aucune garantie. En nous re-proposant cette délibération, on veut nous forcer à adhérer. En revanche, on voit à la lecture des documents, que la plupart des communes et des agglomérations sont prudentes, elles ont pris 20% de stations. Mais si on prend le minimum, le maillage est insuffisant. Paris a donc déclaré qu’il allait installer les stations gratuitement, pas tout à fait gratuitement cependant car la Région ne s’est pas encore prononcée sur la subvention et les collectivités devront restituer les droits de voirie, dont on ne sait pas comment ils sont calculés, ils sont variables d’une commune à l’autre... Nous n’avons donc pas de nouveau plan de financement, nous ne savons pas quel sera le manque à gagner, nous sommes dans l’inconnu sur le plan financier.
Dimanche 7 Mars 2010
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Fontenay-aux-Roses
Contre l'avis de l'Autorité de Sureté Nucléaire (ASN), le gouvernement a décidé d'autoriser par décret le recyclage des métaux, plastiques et gravats faiblement radioactifs issus du démantèlement d'installations nucléaires, de manière à s'en servir à la fabrication de ciment ou d'acier. Ce décret permettra de recycler des millions de tonnes de rebuts radioactifs comme ceux qui proviennent du démantèlement des installations du CEA de Fontenay-aux-Roes, qui jusqu'à présent devaient rester confinés dans les filières nucléaires sans possibilité de diffusion dans le domaine public.
Constituant une dérogation à l'interdiction prise en 2002 d'interdire le recyclage de ces déchets nucléaires dans les produits de construction et les biens de consommation, ce décret va permettre de disséminer sur le marché des objets de consommation courante contenant des matières faiblement radioactives. On verra également des vélos, des voitures, des maisons, etc, réalisés avec des matériaux issus de ce recyclage. Ce décret, paru au Journal Officiel le 14 mai 2009, est passé inaperçu, jusqu'à ce que la CRIIRAD découvre le pot aux roses.
Je reproduis ici le communiqué de la CRIIRAD que vous pouvez retrouver sur son site.
La CRIIRAD
demande l’abrogation de l’arrêté du 5 mai 2009
- En 2002, deux garanties essentielles pour la protection du public contre les dangers des rayonnements ionisants ont été inscrites dans le CODE DE LA SANTE PUBLIQUE (CSP) :
o L’INTERDICTION D’AJOUTER délibérément des substances radioactives dans les aliments, les biens de consommation et les produits de construction (cf. article R.1333-2) ;
o L’INTERDICTION D’UTILISER des matériaux et des déchets provenant d'une activité nucléaire – et qui sont CONTAMINES ou susceptibles de l’être – pour la fabrication de biens de consommation et de produits de construction (cf. article R.1333-3).
demande l’abrogation de l’arrêté du 5 mai 2009
- En 2002, deux garanties essentielles pour la protection du public contre les dangers des rayonnements ionisants ont été inscrites dans le CODE DE LA SANTE PUBLIQUE (CSP) :
o L’INTERDICTION D’AJOUTER délibérément des substances radioactives dans les aliments, les biens de consommation et les produits de construction (cf. article R.1333-2) ;
o L’INTERDICTION D’UTILISER des matériaux et des déchets provenant d'une activité nucléaire – et qui sont CONTAMINES ou susceptibles de l’être – pour la fabrication de biens de consommation et de produits de construction (cf. article R.1333-3).
Jeudi 11 Février 2010
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Fontenay-aux-Roses
Malgré l'opposition du groupe Les Verts, le Conseil Communautaire de Sud de Seine a décidé d'adhérer à Autolib. Ce dispositif est pourtant une fausse bonne idée.
Voici la transcription de mon intervention dans laquelle les raison de mon groupe.
Nous avons pour la « petite reine » les yeux de Chimène. Ce n’est pas pour autant que l’on jette les voitures aux gémonies. Je ne vais pas me placer de ce point de vue pour critiquer AUTOLIB, mais d’un point de vue technique.
Mercredi 10 Février 2010
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Jean-François Dumas
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